Thursday, August 30, 2012

Circuits #courts : une charte régionale en Pays de la Loire


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Le Conseil régional des Pays de la Loire vient de formaliser à travers une charte régionale la notion de « circuits alimentaires de proximité ». « Je souhaite que ce document de référence, fruit de la concertation entre la Région et les acteurs concernés, ouvre la voie à une dynamique nouvelle », a commenté Jacques Auxiette, président du Conseil régional des Pays de la Loire. Un référentiel régional a ainsi été élaboré pour que les produits alimentaires qualifiés de « proximité » dans cette région puissent le respecter. Les producteurs qui souhaitent mieux formaliser la notion de circuit courts de leurs produits en Pays de la Loire peuvent alors signer cette charte.

Source et plus d'informations: Campagnes et environnement


Tuesday, August 28, 2012

#LocalFood systems in Europe – Case studies from five countries and what they imply for policy and practice




This report summarises the main findings, which are based on qualitative empirical research of 10 case studies, two in each of the countries, and it includes recommendations about policy changes that would be necessary to strengthen Local Food Systems in future. These changes include: support for setting up cooperative networks and infrastructure; greater knowledge exchange; more local sourcing in public procurement; more appropriate funding; and the more flexible adaptation of over-burdensome legal regulations (e.g. distinguishing rules for products for different markets); and ensuring that the Leader programme maintains its bottom-up character, along with a territorial approach linking urban consumers with rural producers. By recognising and valuing LFS and for their societal opportunities and benefits, authorities could take responsibility for improving and linking relevant policies.


source : FAAN

Thursday, August 23, 2012

Bretagne. Les filières alimentaires de #proximité se développent

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Le conseil régional de Bretagne a lancé en décembre dernier un appel à projet à destination des 21 pays bretons, dans le cadre de « La nouvelle alliance agricole ».

Une initiative du Pays Centre Ouest Bretagne
Le Pays COB qui est le plus grand des 21 Pays bretons, à cheval sur trois départements, sera accompagné dans son projet durant trois années.

Structurer les filières et faire naître des complémentarités
Le Pays COB est un territoire rural où l'agriculture est particulièrement importante pour l'économie, avec de plus en plus de producteurs qui se lancent dans la vente de proximité. Parallèlement, un certain nombre d'artisans alimentaires, de commerçants et de restaurateurs ont des difficultés à maintenir leurs activités. Le projet est un premier pas pour structurer les filières et ainsi faire naître des complémentarités entre les différents acteurs du territoire. Pour cela, il faut mettre en place de nouveaux débouchés agricoles et soutenir les commerces de proximité.

Trois grandes actions
La première concerne l'approvisionnement en produits locaux des restaurants collectifs du territoire avec la mise en place d'un territoire pilote qui permettra de servir d'exemple pour l'ensemble du Pays. La deuxième vise la vente de produits locaux dans les commerces de proximité, ainsi qu'une meilleure communication auprès du grand public. La troisième action consistera à aider et appuyer la structuration des producteurs par mutualisation ou encore regroupement afin qu'ils puissent s'organiser pour bénéficier de ces « nouveaux débouchés » qui nécessitent une adaptation à leur travail.

Une chargée de mission
Pour mettre en oeuvre le projet, le Pays a recruté une nouvelle chargée de mission à l'agriculture et à l'environnement, Anne-Laure Andreu, qui aura en charge l'animation et la réalisation du projet. Par ailleurs, le Pays va bénéficier de différents partenaires stratégiques (chambres consulaires, associations agricoles...) pour la réalisation des actions qui devraient débuter en septembre prochain.
source : ouest-france

Tuesday, August 21, 2012

Verduras #ecológicas y de #proximidad para cuidar la salud, la comunidad local y el medio ambiente.

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Cada vez se popularizan más las pequeñas explotaciones de agricultura ecológica, a veces es difícil encontrarlas pues no cuentan con un presupuesto para la publicidad y marketing, pero una búsqueda por internet o una consulta a los amigos más “enrollados” suele dar como resultado un número de móvil al que puedes llamar y el propio agricultor te trae una cesta de productos a casa.

En estas cestas solo entran productos de la temporada, una limitación que se ve recompensada por el frescor y por el sabor de los productos, que se cosechan en las vísperas del día de entrega y no pasan por cámaras de maduración.

También descubriremos nuevas verduras y variedades, pues una de las preocupaciones de estas pequeñas fincas es la recuperación de variedades antiguas y locales, ya sea porque están más adaptadas al clima y son menos exigentes en agua y cuidados, o porque ofrecen sabor y texturas distintos o, simplemente, porque así se mantiene la biodiversidad genética – un tema muy importante pues en la diversidad genética está la capacidad de adaptación a los retos del cambio climático.

Uno de los mitos sobre las verduras ecológicas es su precio. Obviamente no pueden competir con las grandes superficies que compran enormes cantidades y algunas veces venden por debajo del precio de coste (usando algunos productos como un reclamo y recuperando el margen en otros artículos). Aún así, los precios de la cesta ecológica no son desorbitados y prohibitivos. A modo de ejemplo una cesta de 5 kg de verduras y frutas variadas cuesta entre 15€ y 20€, según temporada y área geográfica.

En la agricultura ecológica se persigue el precio justo: un precio que remunere dignamente al agricultor, que permita ofrecer un producto libre de químicos, que no contamine la tierra y que tenga un valor asequible para el consumidor. Esta filosofía propicia a que nuevas generaciones se incorporen al mundo agrícola y que las explotaciones tengan un espíritu de cooperación entre ellas.

Fuente y más información: Ecología Fácil

Thursday, August 16, 2012

Démarche individuelle ou collective, quel(s) choix pour les #CircuitsCourts ?

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En Aquitaine, 10 000 exploitants agricoles ont fait le choix des circuits courts en 2010. Une orientation commerciale dont le recensement agricole démontre les nombreux effets positifs : valorisation de la production, maintien de l’emploi, et pérennisation de l’exploitation en lui assurant un revenu. Dans sa dernière publication «Agreste Aquitaine», la Direction régionale de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Forêt fait le point sur ce mode de consommation tout en soulignant, face à l’augmentation de la demande, l’enjeu d’une approche collective de la démarche et non plus seulement individuelle.

En Aquitaine près d’une exploitation sur quatre pratique les circuits courts, contre une sur cinq au niveau national, que ce soit par le biais de la vente directe ou par le biais d’un intermédiaire unique. Un résultat qui selon la publication de la Draaf, place donc l’Aquitaine dans le quinté de tête de ce type de commercialisation. Quant au classement interne, c’est la Gironde, qui se place facilement au premier rang grâce au poids de la viticulture, particulièrement engagée dans les circuits courts (1 viticulteurs sur 2). Viennent derrière la Dordogne, les Pyrénées-Atlantiques, le Lot-et-Garonne et enfin les Landes.
Cela dit, au regard de la variété des productions aquitaines doublées, pour beaucoup d’entre elles, d’une valorisation sous signe de qualité et d’origine, l’Aquitaine a une véritable vocation à suivre la voie des circuits courts. Une commercialisation dans laquelle les producteurs privilégient la rencontre avec le consommateur, à travers la vente à la ferme, les marchés et enfin le commerce de détails. Avec un producteur sur deux engagés sur les circuits courts qui la pratique, la vente à la ferme arrive largement en tête. Un engouement qui s’explique d’une part par la facilité de la démarche (absence de transport notamment) mais aussi par le couplage de la vente des produits et la diversification des activités des exploitations à travers l’hébergement et la restauration. En bref, les producteurs s’engagent massivement dans des démarches individuelles particulièrement en phase avec les attentes sociétales et notamment ici la traçabilité. Pour autant, face à une demande qui s’accroit ces seules démarches individuelles ne pourront suffire longtemps…

source : aqui.fr

Tuesday, August 14, 2012

How to turn social and environmental #supply #chain risk into opportunity

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How leading companies manage sourcing risk and improve supplier resilience
Now in our 7th year, the Sustainable Supply Chain Summit brings together 200+ senior sustainability and procurement executives from large European brands to discuss proven best practice and innovative solutions.

This is the most well-respected and dynamic industry conference on such a critical area, and by attending, you're guaranteed to get:
Proven techniques to minimise non-compliance and save money through effective collaboration with your suppliers
Best practice to integrate sustainable sourcing into procurement decisions for effective risk mitigation and better sustainability performance
Key steps to develop effective B2B and multi-stakeholder collaboration to streamline standards for suppliers and tackle the challenges you can't overcome alone

More info : Supply Chain Summit

Thursday, August 9, 2012

#Agricultura #sustentável poderá criar 50 mil novos empregos


Um dos principais relatórios apresentados no Rio+20 conclui que o investimento na agricultura sustentável poderá gerar 50 mil novos empregos no campo até 2050. O relatório Evitando a Fome no Futuro foi lançado pelo UNEP, o Programa das Nações Unidas para o Meio Ambiente, e explica que, ao mesmo tempo que se discute a disponibilidade e acesso à comida, o mundo está a acabar com os seus serviços ambientais básicos, como a água e solo.

“Temos de trabalhar com o facto de que é possível produzir alimentos sem pôr em causa a natureza. É preciso investir em sistemas alimentares sustentáveis, caso contrário o mundo não dará conta de alimentar os nove mil milhões de habitantes previstos para 2050”, explicou Joseph Alcamo, cientista-chefe do UNEP e que apresentou o relatório aos jornalistas.

Segundo Alcamo, esta transição para uma produção de alimentos mais sustentável não é tão difícil de acontecer. “Por exemplo, se investirmos 1,06% do PIB global em agricultura sustentável a partir de 2015, poderemos ter até 50 milhões de novos empregos verdes no campo até 2050. É uma situação win-win (ganha-ganha). Fortalecemos as bases ecológicas da agricultura e aumentamos a oferta de emprego, ou seja, arrefecemos a economia”, continuou o responsável.

Além do incentivo à agricultura e pesca sustentável, o novo relatório do UNEP aponta outras medidas que devem ser tomadas para fortalecer as bases ecológicas do planeta e, consequentemente, a segurança alimentar de sua população, como o estímulo à produção e consumo sustentável ou redução do desperdício de alimentos.

Tuesday, August 7, 2012

Les circuits courts #alimentaires de #proximité : l'avis de l'ADEME


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L'ADEME passe les circuits courts au crible de l'environnement
Le lien entre circuits courts et environnement n'est donc pas si évident. Selon l'ADEME, il faut étudier l'ensemble du cycle de vie de l'aliment (production, transformation, conditionnement, transport, etc). A cela s'ajoute les impacts énergétiques, climatiques et les impacts sur l'eau et la biodiversité. Aujourd'hui, peu d'études compactent ces données.

Les circuits courts présentent plusieurs points forts qui méritent d'être mis en avant :
La soumission des productions françaises aux règlementations nationales et européennes qui sont parmi les plus exigeantes au monde,
Une agriculture périurbaine maintenue peut limiter l'étalement urbain et ainsi préserver la qualité de sols fertiles,
La recherche d'une certaine autonomie alimentaire, en produisant localement une partie des besoins, sécurise les approvisionnements, soutien l'économie locale et évite la délocalisation des impacts (réduction des déchets car peu de conditionnement et d'emballages).

Mais il existe aussi de nombreux points de vigilance :
  • La plupart des exploitations pratiquant les circuits courts sont de petite taille et sont inscrites dans des logiques proches de l'agriculture biologique, certaines mêmes sont labellisées bio. De ce fait, elles sont souvent moins productives qu'une exploitation plus intensive qui elle aura mieux optimisé les intrants rapportés à la tonne de matière produite.
  • Le respect de la saisonnalité des produits est aussi important. Ainsi, des aliments produits localement hors saison sous serre consommeront plus d'énergie et rejetteront plus de gaz à effet de serre que des produits importés cultivés en plein air (même en incluant le transport).
  • Quant au transport, grand producteur de CO2, il nécessite une bonne logistique. Ainsi un transport de marchandises optimisé sur de grandes distances s'avère plus respectueux de l'environnement que des petits trajets effectués dans des camionnettes peu remplies et revenant à vide. Pour sa part, le consommateur peut être amené à se déplacer davantage en cas de dispersion des points de vente. Il apparaît donc nécessaire d'organiser la distribution au plus près du client final - livraison de panier sur le lieu de travail, regroupement des points de distribution (sur un marché ou dans des points de vente collectifs) - afin de proposer une offre large sur un unique point de vente.

En résumé, la diversité des circuits courts de proximité et le manque d'études sur le sujet ne permettent pas d'affirmer qu'ils présentent systématiquement un meilleur bilan environnemental que les circuits longs.
Plus de proximité ne signifie pas nécessairement moins d'émissions de gaz à effet de serre si les moyens de transport sont inadaptés, si la logistique est insuffisamment optimisée.

Selon l'ADEME, les circuits courts de proximité doivent permettre de répondre autant que possible localement à une partie des besoins alimentaires de la population d'un territoire et sont, en ce sens, complémentaires des circuits longs.

SOURCE : themavision

Thursday, August 2, 2012

#Periurban agriculture and rural development strategies: a comment


Urban sprawl and new residential preferences in rural areas are the main driving factor of the increase of periurban spatial assets at regional level. In this sense “periurbanity” tends to be increasingly a stable and permanent condition of a territory, and not only a phase of transition between a rural to an urban condition. At the same time the agricultural activities located in these areas are assuming a more distinctive aspect from the ones located in the rural areas. The European regulation on rural development (Reg. CE 1698/05) seems to take into account this “new” territorial perspective. It gives to rural periurban areas an autonomous condition and it indicates for them specific strategies of intervention. In this paper it is briefly analysed the main features of periurban agriculture and the role they can have to enforce the efficiency and effectiveness of the rural development interventions for the 2007-2013 programming period.

source : econpapers

Tuesday, July 31, 2012

France Silver metals on quality and food safety


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Safety is almost an asterisk in the Global Food Security Index, recently released by DuPont and the Economist Intelligence Unit.
In an overall assessment of the affordability, availability and quality of food, the United States emerges as No. 1 overall, but America was bested by Israel and France in the "quality" category, where food safety was part of the score.
No surprises that the U.S., with the largest economy and most productive agricultural sector, is the most food secure country on the planet. Losing the Gold and Silver metals on quality and food safety to Israel and France is a little harder to explain.
In the data set for food safety, the U.S. got 99.3 percent while Israel and France both earned a 100 percent score. The composite is supposed to measure "the enabling environment for food safety."
The food safety composite was one of about 16 data sets used to create the Global Food Security Index, which covers 105 countries. The U.S., Denmark and Norway topped the overall rankings, in that order.

Commissioned by DuPont, a developer of genetically modified crops, and produced by the data-crunchers at the Economist Intelligence Unit, the new food security index offers a way to compare countries around the globe.

"We've always known that what get measured, gets done," said Ellen Kullman, DuPont's chairman and chief executive officer.  

"As we talked to governments, NGOs, and farmer organizations around the world, we've come to realize that while we share a common goal of food security, we do not share a common language," she said.  "To truly address the root cause of hunger, we must have a common path forward to tackle such pressing issues as food affordability, availability, quality and safety".

"Literally billions are being invested to address food security, but until today, we had no comprehensive, global way to measure food security and the impact of investments and collaborations at the local level."

In less developed countries, people are falling short by about 100 calories a day of the recommended level of 2,300 calories a day, while in developed countries like the U.S. people are not getting enough micronutrients. France is the only exception.
National food supplies in developed counties, including the U.S., have "limited availability of vegetal iron," according to the report.
One other area where the U.S, got marked down was for the "volatility" of its agricultural production.
France, The Netherlands, Austria, Switzerland, Canada, Finland and Germany round out the overall top ten countries.
African counties plus Cambodia and Haiti make up the bottom 25 on the list, including such fast-growing countries as Mozambique, Ethiopia and Rwanda.  
By some estimates, food prices in the past decade have run at about double the overall inflation date, pushing millions into poverty.

source : Food Safety

Thursday, July 26, 2012

Call for a European meeting on Community Supported Agriculture (CSA) and other distribution systems for #Food #Sovereignty

Do you know about Community Supported Agriculture (CSA)? Are you involved in a CSA project, a Food Cooperative, a GAS (Italian solidarity purchasing group), an AMAP (the French name for CSA projects), a GASAP (the Brussels’ equivalent of AMAP), a Participatory Guarantee System (PGS) or any other food distribution system working to achieve Food Sovereignty? Are you interested in networking and exchanging on this topic at the European level?

Throughout Europe people from different cultures and backgrounds are already working towards the shared goal of redefining the way our society organises the production, processing and distribution of food, and are getting together to achieve Food Sovereignty in their local communities.

Reclaim the fields is calling for a meeting to identify a shared vision for food distribution systems committed to Food Sovereignty in Europe, define future thematic focuses and develop an organizational structure for a new European platform. Our aim is to create a decentralized platform where experience-sharing between food distribution projects can be achieved, independent from any central body or institution.

This meeting is part of the follow-up process to the Nyeleni-Europe Forum that took place in Krems last August. It will focus on the Axis 2 of the Action Plan: “Changing how Food is distributed“.

Topics we would like to address :
  • What is our common ground? Reclaim the fields wants to define a shared vision and set characteristics for CSAs and other distribution systems for food sovereignty.
  • How to decentralise the experiences, initiatives and share solutions? How to pool our resources efficiently?
  • How to build alliances to follow up on Axis 2 of the Nyeleni-Europe Action Plan?
  • What organizational and operating means and methods will best enable us to work together?
Reclaim the fields is happy to invite anyone who is interested in promoting deeper relations between small-scale producers and consumers in local food webs, short supply chains, and diversified local farmers’ markets based on solidarity and fair prices aimed at rebuilding and redefining our food systems to this working session on October, 10th- 12th, in Milan. This is the way to stop the monopoly of agribusiness and their dictatorship to farmers and consumers alike, and change the homogenisation of the global food systems that are destroying local small-scale producers and distribution systems and consumers interests! It is the way to build a sustainable local food system and solidarity economy instead.

Reclaim the fields isaiming to have a balanced representation from the different European regions and include as many actors as possible to jointly build our common struggle for Food Sovereignty as a reflection of its true European diversity.

Due to limited funding Reclaim the fields cannot provide travel reimbursement for everybody but Reclaim the fields will try to cover accommodation and food during the meeting. At the meeting we will announce a suggested financial contribution per day to cover the expenses for food. Reclaim the fields will organize interpretation according to the needs of registered participants. Please register before the 30th of June if you require interpetation support.

Registration is open until September, 1st, 2012.

Tuesday, July 24, 2012

Slow food for fast kids

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by : Kristy Komadina
The other day my son said to me, “Mum, how come there are no peaches in the supermarket right now? I wish I could have a peach, but all there seems to be are apples and pears!”
I began to explain about seasonal foods. The questions kept flying and ten minutes into the conversation I realised firstly that I was really surprised at how interested my six-year-old son was about seasonal foods and secondly that perhaps I’d always just assumed that my children understood that not all food was available all the time.
A love of food and cooking fostered from a very young age sets children up with the skills and passion for good eating. Seasonal eating is the practice of using only the foods that are abundant and currently in crop, the benefits of which range from maximum nutritional value, to the best tasting food possible and of course the best value. The idea of seasonal eating is nothing new, in fact it’s an extremely traditional practice that existed before the times of cold storage and food imports. If a product wasn’t in season, it just wasn’t available.

The slow food movement really gets to the core of seasonal eating. Founded in 1986 by an Italian journalist Carlo Petrini, it was a direct reaction to the opening of Italy’s first McDondald’s restaurant in Rome. Petrini believed in using the senses to fully experience seasonal food. He was fighting a war against the homogenisation and globalisation of food by encouraging people to shop locally and cook seasonally.

It’s not really about slow cooking. ‘Slow food’ can be prepared quickly. In essence it’s about using principles that are the opposite of ‘fast food’.

I don’t know about you but sometimes I feel as though my kids are living in such a fast world where information is at their fingertips and gratification is often instantaneous. Anecdotally I feel as though their attention spans are shortening and children are losing the art of patience and perseverance. In some respects, talking to children about where food comes from and involving them from a grass roots level in food preparation is an attainable starting point for slowing down in other aspects of life too.

So where do you begin? How can you as a parent get your children involved in slow food?

Take them shopping.  
There is so much to see and learn at a fresh food market. Aim to shop locally only and point out the origins of food. Explain that some foods that are not in season in Australia are imported from countries far away and discuss the implications of food miles and ethical farming practices. It’s also a good time to explain that food that is in season generally costs less.

Try growing your own. 
Even if it’s just a couple of planter boxes filled with herbs, getting the children to grow some of the food they eat is possibly the best way for them to begin to understand that food takes time and effort. Lettuces, cucumbers and tomatoes are extremely easy to grow and you do not need a lot of space to grow a decent crop.

Offer a slow food lunch box. 
The simplest way to fill their school lunch boxes with slow food is to pack them with fresh fruit and vegetables. In lieu of pre-packaged supermarket snacks, get baking and make your own lunch box treats.

Make more things from scratch. 
There are so many every day foods that can easily be made from scratch and best still, the kids will love to get involved. In our household we have been baking bread and making yoghurt but there are lots of easy ‘from scratch’ foods to try such as tomato pasta sauce, biscuits, peanut butter, muesli, dips, jams and preserves etc. My oldest son has been particularly amazed at how yoghurt is made and my daughter loves getting her hands sticky kneading dough for bread. It’s great that they can see that these products don’t just come ready made on a supermarket shelf.

Get them cooking with you. 
It’s pretty obvious, but if you involve children in the preparation of their food, they are more likely to eat it. A love of food and cooking fostered from a very young age sets children up with the skills and passion for good eating.

As you can see it’s easy to take on board the principles of slow food in your every day life. The most effective way you can instill these ideas in your children is to be a living example to them. Practice what you preach - eat well, shop locally and in season. Cook from scratch where possible and avoid pre-packaged and over processed foods.

Kristy is a mother of three who loves feeding her family wholesome, nutritious and above all delicious food. She has her own food blog called The Life She Made where she posts family style recipes and talks about life as a stay at home mother.

Source : essentialkids

Thursday, July 19, 2012

Carrotmob, le mouvement écolo et atypique de l’anti-boycott


Trier ses ordures, éviter les bains, privilégier les transports en commun, favoriser les produits recyclables et recyclés, faire pipi dans la douche… Le quotidien d’un écologiste pratiquant ressemble bien souvent à un chemin de croix. Fort heureusement, la protection de notre environnement passe également par des initiatives plus ludiques et tout aussi efficaces, à l’image de celle imaginée par l’Américain Brent Schulkin. Après plusieurs années de réflexion, cet ancien salarié de Google a lancé le concept de Carrotmob en 2008 à San-Francisco :

    “Nous avons choisi le nom de Carrotmob car nous utilisons la carotte au lieu du bâton. Plutôt que les traditionnelles attaques ou menaces, nous croyons que les gens peuvent avoir plus d’influence sur les entreprises en leur donnant une bonne raison de changer : notre argent.”

Une façon de prendre le capitalisme à son propre jeu en troquant le traditionnel boycott par une consommation ciblée et responsable.

Les règles de Carrotmob sont simples : des consommateurs envahissent un commerce afin de dégager un surplus de chiffre d’affaires pour le gérant. Celui-ci s’engage alors à réinvestir une partie des bénéfices réalisés dans la restructuration écologique de son établissement. Plus précisément, des commerces (épiceries, restaurants, magasins, bars…) font l’objet d’une présélection par l’équipe organisatrice du Carrotmob. Dès lors, ils sont invités à participer à des enchères. Celui qui propose le plus haut pourcentage de bénéfices réinvestis remporte la mise. “Dans la phase de sélection, nous prenons également en compte l’aspect ludique de la proposition, les animations envisagées par le commerçant, détaille Florian Guillaume, président de Carrot Community et importateur du concept en France. C’est le cas du bar Le Chantier à Rennes qui nous a proposé de faire des cocktails à la carotte.”

Source : Les Inrocks

Tuesday, July 17, 2012

#Coopérer pour développer les #circuits courts


La Fédération nationale des coopératives d’utilisation de matériel agricole (FNCUMA) publie un intéressant 12 pages sur les "circuits courts". Circuits courts/circuits de proximité, comment s’y retrouver ?


« Un intermédiaire au plus entre producteur et consommateur » : voilà la définition des circuits courts la plus couramment utilisée. Cette formulation ne prend pas en compte la dimension locale – pourtant essentielle – et c’est pourquoi beaucoup lui préfèrent l’expression de « circuits de proximité ». Dans ce dossier, nous considérons que les circuits courts se rapportent à l’ensemble des démarches qui visent à limiter les intermédiaires et les distances entre producteurs et consommateurs.

Edito de Bruno Cassar (FNCuma)

Quand on pense « circuits courts », on imagine plutôt des agriculteurs qui personnalisent leurs produits et vont à la rencontre du consommateur dans des démarches individuelles. N’y a-t-il pas un paradoxe à lier « circuits courts » et « coopération » ? Bien valoriser ses produits en circuits courts suppose d’être performant sur 3 activités : la production, la transformation et la commercialisation. S’ajoute une 4e activité transversale : la logistique. Il est difficile de mener ces activités de front quand on est seul. Il faut disposer d’une bonne capacité d’investissement, de compétences variées (on ne s’improvise pas boucher et tout le monde n’a pas la fibre commerciale) et surtout de très bien s’organiser pour éviter la surcharge de travail. Sur ces 3 points, les solutions collectives comme les cuma peuvent jouer un rôle majeur ! D’une certaine façon, les circuits courts invitent donc à refaire du collectif. Que permet le statut cuma et que fait le réseau cuma pour accompagner le développement des circuits courts ? La cuma permet de mutualiser des matériels et de la main-d’oeuvre au service du développement de l’activité agricole de ses adhérents, que ce soit au niveau de la production, de la transformation, de la commercialisation ou de la logistique.

Ainsi, l’atelier de transformation en cuma permet de transformer des produits animaux ou végétaux. Une cuma permet aussi la commercialisation, mais seulement dans le cadre bien particulier d’un point de vente collectif, c’est-à-dire qu’il n’y a pas d’achat revente mais qu’il s’agit de remise-directe du producteur au consommateur. Cette formule permet de proposer dans un même magasin une gamme de produits variés provenant de divers producteurs : c’est un bon moyen d’allier la proximité à la praticité que recherche le consommateur. Enfin, il est aussi possible de mutualiser des moyens pour assurer la logistique : camion frigo pour organiser collectivement les livraisons, etc. Les fédérations de cuma se tiennent à la disposition de tous les producteurs qui le souhaitent pour les accompagner dans la réalisation de ce type de projets.

Avec les circuits courts coopératifs, est-ce qu’on n’est pas finalement en train de reproduire le processus des années 60 qui a abouti aux outils de transformation et de commercialisation des circuits longs actuels ? Il y a sans doute des similitudes : aujourd’hui comme hier, il y a un besoin de structuration pour gagner en efficacité. Mais il y a aussi de profondes différences : dans les initiatives en circuits courts, la proximité et la relation humaine entre le producteur et le consommateur sont au coeur du projet, ce qui n’était pas du tout le cas dans les filières longues. Les producteurs sont aussi plus soucieux de conserver la maitrise de leur produit afin que la valeur ajoutée ne soit pas diluée entre divers intermédiaires. Enfin, ces démarches associent fréquemment d’autres acteurs (salariés, consommateurs, collectivités, etc.), qui sont souvent très attachés aux dimensions humaines et de proximité. On peut penser que ces nouvelles formes coopératives, comme la Scic, entretiendront un rapport plus étroit à leurs adhérents et à leur territoire.

Source : Recma (Revue internationale de l’économie sociale)

Thursday, July 12, 2012

La PAC, para el que la trabaja

                               source

Por : Carmen Morán

El reparto de las ayudas al campo que da Europa disgusta a los agricultores. Entre un 75% y un 80% de los 5.160 millones que recibe España se queda en manos del 20% de los beneficiarios. Así, miles de pequeños agricultores reciben entre 500 y 1.000 euros anuales mientras que grandes productores, terratenientes o ganaderos, se reparten ayudas cuantiosas; entre ellos, grandes empresas de la alimentación reciben millones de dinero público. El sistema es legal, pero el reparto cada vez está más cuestionado.

Europa está ahora redefiniendo la figura del agricultor, para frenar determinadas prácticas, pero no es fácil. El Tribunal de Cuentas Europeo alertó el año pasado de que el criterio de reparto permitía que se beneficiaran quienes “no desempeñan actividad agrícola o lo hacen de forma insignificante”.
El objetivo es vetar las subvenciones a los "agricultores de salón"

La UE también ha mostrado su preocupación por el reparto de los subsidios entre aquellos que el comisario de Agricultura, Dacian Ciolos, ha denominado “agricultores de salón”. La Política Agraria Común (PAC), ha dicho en alguna ocasión, "no tiene intención de pagar a agricultores de sofá". El objetivo ahora, según Ciolos, es evitar que sigan recibiendo ayudas, entre otros, aeropuertos y campos de golf e ir poniendo un tope al dinero que perciben los grandes productores agrícolas.

La propuesta europea que se discute estos días veta la concesión de los llamados pagos directos a aquellos perceptores que no alcancen a ingresar por esta vía ni un 5% de su renta total. Se entiende que así quedarán excluidos los que se dedican mayoritariamente a otras actividades que nada tienen que ver con la agricultura o la ganadería. Este límite no se aplicaría a aquellos que hayan percibido menos de 5.000 euros anuales porque pueden estar complementando su actividad habitual con alguna pequeña explotación agraria.

Pero la propuesta no convence a todos. El Tribunal de Cuentas Europeo considera que ese tope dirigido a excluir a “aeropuertos, compañías ferroviarias, inmobiliarias y empresas de gestión de instalaciones deportivas” de los que perciben estas ayudas, “no impedirá que aquellas personas que no ejercen, o solo marginalmente, una actividad agraria se beneficien de los pagos directos”.
El 75% del presupuesto se lo lleva un 20% de los beneficiarios

La Unión de Pequeños Agricultores y Ganaderos (UPA) también matizaría este nuevo criterio. Cree que el tope debería establecerse de otra manera, con la vista puesta en la producción: “No deberían recibir ayudas aquellos que ingresen con la venta de sus productos agrícolas menos del 25% de su renta total”. Considera que de esa manera los agricultores de verdad quedarían distinguidos del resto. La organización agroganadera Asaja tampoco está de acuerdo con ese límite del 5% de ingresos que propone Europa, pero por otros motivos. “Puede dejar fuera a algunos agricultores por el hecho de percibir rentas mayoritarias de otros sectores productivos”, dice Ignacio López, director Internacional de Asaja. 
                                               el país
López explica que “no debería importar la persona que lo percibe, sino quién genera empleo en este sector, produce y cuida el medio ambiente”. La UPA comparte solo una porción de este razonamiento y pide que en la reforma haya “un filtro para las ayudas a las hectáreas no productivas”.
No es poca cosa ese filtro, porque la reforma que ahora se plantea desvincula de nuevo las ayudas que se perciben de la producción agrícola que se desempeña para relacionarla, sin más, con las hectáreas que se poseen. El miedo de premiar con ayudas la producción agrícola parte de los años setenta y ochenta, cuando el campo y la ganadería fueron excedentarios. Producir más de la cuenta salió caro. Por eso, las reformas posteriores relacionaron los subsidios con las hectáreas declaradas en años precedentes, sin vigilar si después se abandonaban los cultivos (por resumir un sistema que es enormemente complejo). La filosofía era premiar también al agricultor como guardián de espacios verdes, no solo como productor. De ahí los campos de golf y otros pastos.

Con la reforma que ahora se propone no importará siquiera si se cultivó alguna vez. Se tomará un año de referencia, 2014, y las hectáreas de campo que se acrediten entonces. En España hay 38 millones de hectáreas que podrían, de esa forma, percibir fondos. En 2009, optaron a estas ayudas 21 millones de hectáreas y en 2011 casi 25 millones. Europa da fondos para 17 millones de hectáreas en la actualidad. “Con el nuevo sistema cualquiera que tenga una hectárea, haga lo que haga con ella, podrá beneficiarse y eso no puede ser, porque las ayudas se quedarán en manos de quien tenga capacidad de jugar en los mercados, de especular y no entre los agricultores”, dicen en la UPA. “Si el temor es que la producción se dispare, que lo regulen, que lo inspeccionen, pero no se pueden desligar las ayudas de los productores”, afirma el secretario general de la organización, Lorenzo Ramos. Además, dice, “si todo se deja a las hectáreas que se poseen, como el 66% de las tierras están en arrendamiento y no se necesitan referencias de usos históricos, las hectáreas las cobrarán los propietarios”.

Más información : El país Sociedad
Fuente :  El país



Tuesday, July 10, 2012

Food security must be on the table at Rio+20 - Joint opinion article: FAO, IFAD, WFP and Bioversity

by: José Graziano da Silva, Director General, Food and Agriculture Organization of the United Nations, FAO; Kanayo F. Nwanze, President, International Fund for Agricultural Development, IFAD; Ertharin Cousin, Executive Director, World Food Programme, WFP; Emile A. Frison, Bioversity International

They struggle to make crops grow in the parched earth. They watch in despair as their seedlings and livestock are washed away by flash floods. They stand quietly in the markets and watch others buy food that has become too expensive for them to afford.

Who are they?  They are the hundreds of millions of people who strive – and often fail – to get enough nutritious food each day to lead a healthy life. Hunger is the world’s greatest solvable problem. And solving it is the basis for sustainable development.

It’s a tragic irony that many of them could have better access to food, but don’t. They are smallholder farmers who barely manage to grow enough to feed their families, they are the landless and they are poor urban dwellers that live in communities where plenty of food is available. Their children are often malnourished, facing chronic illness, stunted physical and cognitive growth and reduced life expectancy.

Their experience proves a central truth that must be accepted by all participants in Rio+20, the UN Conference on Sustainable Development:  There can be no sustainable development if billions live in poverty and hunger.

The theme of Rio+20 is “The Future We Want.”  For many of the 1.3 billion people who live in extreme poverty, the future they want could be within their grasp. But this can only be achieved if governments and their citizens, civil society and the private sector, accept that it is the right of every person to be free from hunger, and are willing to act to make this happen. To do this we need to improve people’s access to food in their communities, increase production by 60 per cent by 2050, drastically reduce huge losses and waste of food and manage our natural resources sustainably, so that it flourishes for future generations.

The people who work on the world’s 500 million small farms are the drivers of rural economies and the custodians of a much of our natural resources and agricultural biodiversity. They have enormous potential as entrepreneurs, but lack the means needed to build their businesses, and their own food security and that of others.

When people have access to nutritious food and when they can support themselves and their families, the wider community feels the impact.  Productivity increases, incomes rise and access to healthcare and education improves.

Rio+20 is a chance to rise to the challenge. We need to work together to implement policy reforms, create the incentives, invest in research and innovation, build human capacity and expand market opportunities for farmers and their families and small agribusinesses. We need to reform our food production and consumption systems using scarce resources more responsibly. Unless we sustainably manage land, water, fisheries, forests and biodiversity, we cannot achieve long-term agricultural growth.

Sustainable solutions must also be equitable solutions.  A large number of smallholder farmers are women. For lasting development in agriculture and food security, women must have the same access as men to resources and the same participation in community decision-making.

Long-term improvement in the lives of millions of people depends on supporting their resilience through climate-smart agriculture and safety net programmes that strengthen their ability to withstand and recover from shocks like extreme weather, market downturns and food price spikes.  It also depends on agriculture that provides more diverse foods for healthy diets and on using what we have more wisely by reducing losses and waste in the food supply chain.

As world leaders meet in Rio, we are at a crossroads. In one direction is the path to further environmental degradation and human suffering; in the other direction lies the future we all want. The Rio summit offers a historic opportunity we cannot afford to miss. Achieving healthier food for all and healthier ecosystems can be done. We know how to end hunger and manage the earth’s resources in a more sustainable way.   But we need a stronger political will to do it. 

We should look to Rio+20 as the beginning of a new process and not the end. The target date for the UN’s Millennium Development Goals (MDGs) is within sight. And we must redouble our efforts to meet those goals.  Rio must be our stepping stone from the MDGs and their target date of 2015 to a new set of goals. This is our opportunity and we must seize it while we can.

From : Bioversity International

Thursday, July 5, 2012

L’agriculture de proximité se dévoile sur la Toile

source

Par Antoine Grosjean . Mis à jour le 07.06.2012

Un nouveau site recense 500 fermes du Grand Genève qui font de la vente directe, de l’hébergement et autres prestations
Un nouveau site internet a été lancé aujourd’hui. Interactif, il permet de tout savoir sur les exploitations agricoles qui proposent des services au public tels que l’hébergement, la vente directe, les activités à la ferme, etc. Intitulé «Chez mon fermier», le site répertorie 500 exploitations du Grand Genève, de la Côte à la France voisine.

L’internaute peut faire une recherche par type de produit ou de prestation, par localité, par noms d’exploitation ou via la carte interactive. Pour chaque exploitation, une fiche donne toutes les infos pratiques ainsi que le détail des produits et activités proposés.

Visant à rapprocher producteurs et consommateurs locaux, ce site est le fruit de la collaboration entre les quinze partenaires institutionnels de l’agglomération franco-valdo-genevoise et les diverses associations d’agriculteurs de part et d’autre de la frontière.

www.grand-geneve.org/chezmonfermier

source : Tribune de Genève

Tuesday, July 3, 2012

Agricultura ecológica directa al consumidor


Por Jotapgarrido

¿Os habéis parado a pensar alguna vez en la palabra ecología? El prefijo eco viene del griego oikos, que significa casa o lugar donde vivir; y el sufijo –logía también viene del griego (logos) y significa tratado, estudio, conocimiento. De manera que, de lo que trata la ecología, es del conjunto de saberes o ciencias que atañen a los seres vivos en sus interrelaciones entre ellos mismos y con el medio o entorno en donde viven. Pero con esta definición, nunca me he quedado a gusto. No la encuentro suficientemente significativa, así que aportaré dos cuestiones que se suelen pasar por alto.

La primera, es que cuando hablamos del medioambiente, como equivalente al oikos griego, debemos incluirnos a nosotros mismos -se suele hablar del medioambiente como algo externo a nosotros-, y la segunda, y en relación con la agricultura ecológica  es que la agricultura ecológica es la lógica de la agricultura. Y ésto es lo que para mí la define mejor.

Aunque el término es relativamente reciente, la agricultura ecológica hace referencia a un tratamiento de la tierra y a un conjunto de técnicas respetuosas con el medio ambiente que nuestros abuelos y los abuelos de nuestros abuelos practicaban guiándose por la lógica, es decir, por el sentido común. La ambición de la mayoría de los agricultores, junto con la manipulación de las grandes multinacionales y la falta de información y de responsabilidad individual de los consumidores están poniendo en peligro el equilibrio natural de nuestros ecosistemas y con ello la salubridad de nuestros alimentos, los cuales llegan a causarnos diversas enfermedades y desequilibrios.

No obstante, me da la impresión de que la crisis actual producirá una especie de catarsis a favor de la vuelta a la lógica y al sentido común. Otros ya estaban convencidos de que la agricultura ecológica es una pieza básica en el desarrollo sostenible y se han puesto manos a la obra iniciando lo que ellos llaman “los circuitos cortos de mercado”, siguiendo una interpretación juiciosa de lo que significa la producción y consumo de recursos locales.

“Cestas del campo a casa” es el lema escogido por tres agricultores ecológicos de Zaragoza, Patricio, Joaquín y Félix. Ofrecen a sus clientes semanalmente y de manera directa, sin intermediarios, una cesta de 7 kg. con frutas y verduras cultivadas sin pesticidas ni fertilizantes químicos. Sus clientes viven cerca, y recogen las cestas de los denominados puntos verdes, gestionados por asociaciones, redes de agricultores ecológicos y de economía solidaria, y además por ciudadanos particulares comprometidos con esta filosofía de vida.

Su estructura empresarial se ha organizado como una cooperativa, donde confluyen los valores propios de este tipo de organización, como su funcionamiento democrático y equitativo o su carácter no lucrativo, con otros con los que ellos han querido comprometerse de una manera consciente, como la cooperación, una lucha particular contra los transgénicos, o el trabajo en red (están integrados en la Red de Economía Alternativa y Solidaria -REAS- de Aragón, un movimiento social que reivindica la economía como medio y no como fin).

He dejado para el final lo que considero el elemento diferenciador más sobresaliente: su enfoque de la relación con los clientes. En primer lugar, diré que su blog está configurado como una antigua bitácora mediante lo que ellos llaman un cuaderno de campo. Las entradas se suceden cronológicamente y en sus contenidos podremos descubrir una descripción encantadora de sus quehaceres diarios: lo que han sembrado hoy, lo que recogerán por la tarde y tendrás en tu casa mañana, las resignadas quejas sobre alguna plaga o enfermedad que afecta a los árboles y a las hortalizas, los remedios naturales que han aplicado, o la confesión de que hoy, están reventados por el trabajo.

¿Queréis saber más de ellos? Disfrutad de su Blog: http://cestasdelcampoacasa.blogspot.com.es/

Thursday, June 28, 2012

Développement des circuits courts : la Chambre d'agriculture s'engage


Répondre à une demande sociale, contribuer à assurer plus de valeur ajoutée sur les exploitations, les circuits courts sont des débouchés à étudier. Mais comment trouver de nouveaux débouchés, dynamiser votre chiffre d'affaires, travailler en partenariat ?
Le recensement agricole de 2010 a identifié 194 exploitations auboises commercialisant tout ou partie de leurs produits en circuits courts, hors viticulture (données Agreste). Un circuit court est généralement un mode de commercialisation direct entre producteurs et consommateurs. Entre les deux, il peut y avoir aussi un intermédiaire, lequel s'occupe de vendre les produits, transformés ou non, aux consommateurs (voir schéma). Il s'agit dans ce cas de vente indirecte.

Les intérêts du "Made in Local" 
La commercialisation en circuits courts comporte de nombreux intérêts :
  •     soutenir l'économie locale en maintenant une agriculture de proximité,
  •     développer le chiffre d'affaires des exploitations agricoles par la création de nouveaux débouchés,
  •     favoriser la diversification de la production sur les exploitations,
  •     encourager une production de qualité,
  •     encourager une consommation de produits de saison et de qualité.
  •     sensibiliser la population aux enjeux de l'agriculture durable et de la consommation responsable.

Les ambitions et les actions de la Chambre d'agriculture en faveur des circuits courts

La Chambre d'agriculture apporte une solution structurée et rentable de développement de la vente directe dans toutes les filières. Par des actions de communication et de sensibilisation auprès du grand public, elle contribue à recréer le lien entre les consommateurs et les producteurs.
La Chambre d'agriculture accompagne les producteurs dans le lancement ou le développement de leurs ateliers de diversification.
Si vous avez un projet de diversification, Marc SCHREIBER, conseiller d'entreprise peut vous accompagner et étudier avec vous les possibilités de financements de votre projet. 
Depuis un an, Alexandra BOLLAERT, chargée de mission Circuits courts, est également à votre disposition pour vous renseigner sur les différentes démarches engagées par la Chambre d'agriculture (voir encadré « Focus sur les circuits courts dans l'Aube »), que ce soit sur des projets de vente directe ou de vente indirecte. Un accompagnement est également possible : création d'un point de vente collectif, labellisation Bienvenue à la Ferme, approvisionnement de la restauration collective...
La Chambre d'agriculture crée du lien entre les producteurs et les acheteurs. En 2011, elle a mené une grande enquête auprès des producteurs et des collectivités pour connaître le niveau de l'offre et de la demande en produits locaux. L'opération « Croque ta Région » a permis en octobre 2011 de faire un test grandeur nature avec deux lycées volontaires, 900 repas ont été servis, composés à 100 % de produits locaux. Pour 2012, la Chambre d'agriculture projette de mettre en place une plateforme internet régionale où les acheteurs passent leurs commandes aux producteurs qui sont géoréférencés. Enfin, pour favoriser les circuits courts elle soutient les outils locaux tel que l'abattoir.
 
 Le label Bienvenue à la Ferme


Les attentes des consommateurs en matière alimentaire sont nombreuses : besoin de confiance et de réassurance quant à l'origine du produit et la connaissance du producteur, recherche de produits savoureux, sains et respectueux de l'environnement.

Le label Bienvenue à la Ferme (marque des Chambres d'agriculture) est un outil de communication positif et concret de l'agriculture vers le grand public. Sa stratégie de communication a récemment été revue, en effet, la marque se recentre sur la production agricole et plus particulièrement sur la notion de produits fermiers. L'offre est clarifiée autour de 4 grandes thématiques :
  •     les produits fermiers,
  •     la restauration,
  •     les loisirs (fermes pédagogiques et de découverte, accueil d'enfants...),
  •     les séjours (gîtes et chambres d'hôtes...).

S'agissant du volet "produits fermiers", de nouveaux canaux de commercialisation peuvent désormais être labellisés (magasin de producteurs, panier, coffret cadeaux) en plus de ceux déjà existants (magasin de vente à la ferme, goûter à la ferme, casse-croûte à la ferme)

Tuesday, June 26, 2012

Rio+20 should prioritise sustainable agriculture, says Caroline Spelman



 


The UK secretary of state for the environment, food and rural affairs says the challenge for the UN Earth summit must be how to 'green' the world economy

Sustainable agriculture should be the UK's key objective for Rio+20, according to the UK secretary of state for the environment, food and rural affairs, Caroline Spelman, who will be attending next month's UN conference on sustainable development with the deputy prime minister Nick Clegg.

"Everywhere in the world, wherever farmers farm, should be put on a sustainable footing," she told a Faith in Rio debate in London on Wednesday, organised by the NGOs Cafod, Christian Aid, Tearfund and Progressio. "Just imagine if we could move farmers from subsistence to sustainability," she added, citing some farmers' inability to store produce and water as an example of where low-key technology could make a real difference in developing countries.

Spelman gave her support to the creation of a set of sustainable development goals, which have been suggested both as an aim for Rio+20 and to inform the debate on objectives for development post-2015, when the millennium development goals, which Spelman described as "a very good model of how to drive action forward", expire. She said the UK delegation "want to come away [from Rio] with a statement of intent and a plan of action".

Outlining the challenges facing policymakers in Rio, and perhaps the failures of the UN Earth summit 20 years ago, which, for the first time sought to address concerns about environmental protection and social and economic development, Spelman claimed that "the poorest 20 years ago are still the poorest today", and warned that "sustainability is not fully integrated into economic decision-making. The world's economy needs to be greened. A green economy can't be a subset."

Water, land and energy should form the nexus of the SDGs, Spelman said, echoing the sentiments of the European Development Report published last week. She called for a small number of goals focused on the most critical sustainability issues. She added: "SDGs have to be relevant to individuals and meaningful at a local level. It isn't all about carbon. The worthy and wordy zero document [the draft outcome document for Rio+20] is not going to save the planet; 400 paragraphs is not the answer."

But Peter Price, the bishop of Bath and Wells, warned the debate that the SDGs would be "voluntary" and "aspirational" with "not very much legal pressure" to bring them into force.

Despite concerns that the non-committal attitude of the US president Barack Obama to Rio+20 will prevent any meaningful outcomes for the summit, Spelman said there was "recognition by superpowers that power is on the move. The distinction between developed and developing has begun to slip away. The economic crash has not distracted from our will to make progress on sustainable development."

She said she was "encouraged" by the attitudes of China, Brazil, India and Russia to put growth on a sustainable footing, citing China and India's desire for a water sustainability goal to emerge from Rio to avoid conflict over water resources, particularly in the Himalayas.

Spelman encouraged the business community to put sustainability at the heart of their decision-making and drive a green economy, saying: "Companies are asking for governance. Companies have a very good reason to put sustainability at the heart of their operations – to show, above all, that business wants this … after the disastrous consequences of unsustainable growth. The exciting thing is that businesses want to do this."

Her view was echoed by UK insurer Aviva's chief responsible investment officer Steve Waygood, whose company is asking world leaders at Rio+20 to commit to a convention on sustainable reporting, claiming that the Brazil gathering will be the first time corporate social responsibility has been discussed at a global summit since the 1992 summit's declaration on CSR, which lasted only two years.

Waygood called on companies to "embed sustainability in their disclosures to the market". The Rio+20 zero draft document calls for greater corporate responsibility, and Aviva – in coalition with NGOs, the FTSE, investment management companies and others is calling for a "report or explain" standard for companies to declare their sustainable business practices to allow consumers and investors, whether large corporate investors or individuals with pension funds, to make informed decisions about how their money is used.

"If we want responsible capitalism … so that the right companies are getting the capital, there is a massive data gap," he said. He called on Rio+20 to deliver a mechanism to require large and listed companies to declare their thinking on sustainability, and, if they have done nothing, to explain why not. "We need a regulatory or policy vehicle to prevent us having the same conversation with different companies," he added.


From :   Penny Woods, guardian.co.uk, Thursday 24 May 2012 15.38 BST   

Thursday, June 21, 2012

Profile: Local-Food Friendly City

Last weekend my husband and I took a short trip to Asheville, North Carolina, a haven for local food, local beer, and local industry. It was inspiring to see so many local-to-North-Carolina farms and businesses supported in such a big way, and Asheville is a model for how Birmingham can grow to support our local economy even more. Birmingham already has fabulous restaurants that use local ingredients, two local breweries in operation – with more on the way, and an abundance of local farms that need our support. We just need a commitment to nurturing those seeds of local industry, and we can look to our friends in Asheville to show us the way.
One of the coolest things about Asheville, and North Carolina in general, comes from the Center for Environmental Farming Systems (CEFS), a group dedicated to promoting food and farming systems as well as protecting the environment and local economies. The CEFS has sponsored the 10% campaign, the goal of which is to get consumers to commit to spending 10% of their food dollars with local growers, producers, and associated businesses. This simple change represents only a small dent in individual pocketbooks, but it stimulates local industry in a big way. Encouraging people to spend just $10 out of every $100 grocery bill with local farmers not only supports the farm economy but also encourages healthy eating through seasonal produce and can promote job growth as the need for local food increases. I see no reason why we can't do something similar in Birmingham.
The fact that Asheville has amazing restaurants and breweries definitely doesn't hurt the cause for local food either. And though the fall colors and proximity to the Blue Ridge Parkway are nice, we usually end up visiting Asheville just to eat and drink. I'm a fan of breakfast food, so Early Girl Eatery is always a must. They have a huge chalkboard in the front listing all the local growers they support, and though they also offer lunch and dinner, I go for my fix of country ham, biscuits, and local mixed-berry jam. A new favorite this trip was the White Duck Taco Shop. With interesting twists on the traditional taco, like the excellent Thai Peanut Chicken taco, this small business uses local and seasonal ingredients whenever they're available. Asheville boasts XX breweries in town and the surrounding area, and most offer tours or tasting rooms onsite. Craggie Brewing Company might be one of the smallest, but their heritage-recipe Antebellum Ale, with its hint of juniper, is worthy of a larger audience. Craggie crafts organic beers and uses local ingredients to do so whenever they can. The biggest brewery, Highland Brewing Company, offers great tours everyday at 4pm, with a sample of their 5 mainstay beers included. The company is committed to sustainability, and our guide told us about an initiative North Carolina is working on to encourage local tobacco farmers to switch to growing hops (one of the main ingredients in beer), so they could possibly use all local hops in the future.
There's a lot to enjoy about Asheville, and one of the best parts is how good it feels to know you're supporting local farmers and industry while doing so. We have all the ingredients to be a local-food haven ourselves, and it only takes a little effort to support our farmers, restaurants, breweries, and businesses in a more dedicated way. Plus, you get to enjoy deliciousness while doing something good. I propose we adopt North Carolina's 10% initiative or something similar. Who's with me?
Source: Emily Brown Freshfully

Tuesday, June 19, 2012

Quel avenir pour les circuits courts alimentaires ?

Près d’un agriculteur français sur cinq commercialise directement sa production. Derrière l’engouement pour les circuits courts et les Amap, les modes de production et les distances d’acheminement des aliments sont très variés. Comment relocaliser nos productions agricoles ? Quel avenir pour les réseaux de distribution alternatifs ? La deuxième édition des « Rencontres des circuits courts alimentaires », le 13 mai, ont été l’occasion de revenir sur ces enjeux.
Le circuit court alimentaire a une histoire très ancienne, la vente directe ayant souvent été le principal mode de commercialisation en milieu rural, et même urbain. La période contemporaine est marquée par plus d’intermédiaires, plus d’intervention de l’agriculteur, la transformation de son métier, une évolution de la relation qu’il a construite avec le produit et de celle qu’il a construite avec le client final, appelé « consommateur ». Mais les paysans réinventent aujourd’hui la commercialisation directe au client, transforment eux-mêmes des matières premières en produits de consommation. Ce commerce sans intermédiaire occupe actuellement près d’un exploitant français sur cinq.
Les circuits courts répondent à des demandes socioculturelles des consommateurs, ils offrent le plus souvent une qualité supérieure et une meilleure traçabilité des produits commercialisés. Des exigences ont été apportées sur l’origine des produits, sur la labellisation des produits régionaux, sur la notion de produits fermiers, qui est devenue un enjeu et une pomme de discorde entre l’industrie agro-alimentaire et les producteurs fermiers. Les marques commerciales et les grandes enseignes ont en effet décliné à l’envi les termes « terroir » ou « fermier » pour appâter le client. Mais aujourd’hui, de plus en plus d’agriculteurs et de producteurs fermiers commercialisent de façon concomitante leurs produits en vente directe, sur des marchés, en point de vente collectif ou par internet.
Les circuits courts englobent des modes de production et des distances d’acheminement très variés. Qui dit circuit court ne dit pas forcément bonnes pratiques environnementales ou sociales, d’où l’importance de choisir des produits bio, de proximité, issus de pratiques équitables et transparentes dans leur fonctionnement et leur prix, et des filières à taille humaine qui excluent les grands distributeurs dont le seul objectif est le profit financier.
Quatre jours d’autonomie alimentaire en Île-de-France
La relocalisation de notre production alimentaire est donc nécessaire, et il nous faut mettre en place, en tant que citoyens, notre propre souveraineté alimentaire. En Île-de-France, l’autonomie alimentaire est de quatre jours et dépend totalement des approvisionnements à Rungis et des centrales de la grande distribution. Il nous faut donc réinventer une agriculture nourricière, respectueuse de la biodiversité et des systèmes de distribution, qui permette de nourrir sainement la population tout en rémunérant correctement ses acteurs, grâce à des outils coopératifs.
Les circuits de proximité doivent contribuer à produire cette plus grande équité et ce dialogue entre producteurs et consommateurs. Les circuits courts doivent aussi influencer l’ensemble du système agro-alimentaire à l’échelle territoriale locale ou plus large. Les formes de normalisation autour de ce que doit être une « bonne » agriculture, une « bonne » alimentation et une « bonne » organisation des échanges entre producteurs et consommateurs seront abordées à l’occasion des Courts-circuits en Seine.
Le terme « circuits courts » doit intégrer des critères sociaux et environnementaux, une exigence sur le mode de production, un objectif de partage de la valeur ajoutée.
Les rencontres 2012 posent aussi la question de la place des produits locaux bio dans la restauration collective : cultivons notre assiette ! Comment relocaliser nos productions agricoles ? Quel avenir pour les réseaux de distribution alternatifs ? Quelles actions politiques entreprendre ?

Plus d'informations et source:  Bastamag

Thursday, June 14, 2012

Os Tilos tendrá desde junio un mercado semanal de cultivos de proximidad

El Concello de Teo ha cerrado el proyecto para poner en marcha en la plaza de Os Tilos un mercado semanal de productos agrícolas de proximidad, una iniciativa ya desvelada por el edil teense de Comercio de Teo, Anxo Rey, durante su comparecencia del último pleno.
El mercado funcionará en colaboración con el Sindicato Labrego Galego, siglas que ya organizaron en el municipio charlas informativas sobre agricultura ecológica y que hoy se retoman con una sesión divulgativa en Calo con un título que resume la finalidad del proyecto: «O mercado local como alternativa de futuro. A importancia dunha alimentación local e de temporada». La siguiente charla será el día 15 en Recesende. Os Tilos el día 24 y Cacheiras el 31 completan el calendario informativo.
El primer mercado será el 9 de junio en la plaza del centro comercial de Os Tilos con un mínimo de diez puntos de venta, de los que al menos la mitad corresponderán a productores de Teo, mientras que el resto serán del entorno compostelano.

Fuente y más información: La Voz de Galicia

Tuesday, June 12, 2012

Local towns, local food - strengthening local economies

20 June 2012 10:00 - 20 June 2012 16:00
Shine Conference Centre, Harehills Road Leeds, Leeds, LS8 5HS
Campaign to Protect Rural England in partnership with Sustain: The alliance for better food & farming are hosting an event that will examine the role and revival of towns as local food centres and how creating a strong local food web (the connections between people who produce sell and buy locally-sourced food in a local area food) can:
• boost the local economy
• improve access to high quality fresh produce
• foster local distinctiveness
• bring communities together
This conference will explore how local food activists, sector professionals, local councillors and officers (at all levels: parish, town, district, borough, city, and county) and the people involved in local food initiatives can work together to promote and enhance their local food webs.
Chaired by: Kath Dalmeny, Sustain
PLENARY SESSION:
Local Food Webs Past, Present and Future
Speakers:
• Graeme Willis, Campaign to Protect Rural England
• Frances Northrop, Transition Town Totnes
• Fran Robinson, Ledbury Food Group
WORKSHOP THEMES:
Participants can select two choices
1. How a joined up approach to local food can support the local economy & community in your town - Pete Hawkins, Taste Tideswell (other speakers to be confirmed)
2. How partnership working can build stronger local food networks - Peter Norton, Herefordshire Food Partnership (and other speakers tbc)
3. How mapping your local food network can identify the key challenges & opportunities for local food where you live - Ben Messer, Food Matters
A local food lunch will be served.

More info: Soil Association

Thursday, June 7, 2012

Les circuits courts, un autre mode de distribution

Par Sébastien Lantenois, gérant de TerroirBio société établie à Aubagne (Bouches-du-Rhône), spécialiste de la vente par Internet de paniers bio issus de petits producteurs régionaux de toute la France.
AMAPs, paniers, boutiques en lignes ou magasins, les modèles de circuits courts de distribution de fruits et légumes prennent une place importante dans le paysage commercial français. Lancés au début des années 2000 en France, les premiers circuits courts de distribution avaient vu le jour au Japon et en Allemagne dans les années 60 avec pour objectif : moins d’engrais, de pesticide, de transport pour une meilleure qualité des produits. 
Développés préalablement sous forme d’AMAPs (Associations pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne - un groupement de consommateurs achète à l’avance la production d’un producteur), les circuits courts se sont depuis multipliés aussi bien en nombre qu’en types de structure.
L’AMAP semble passée un peu de mode : le concept d’un panier de composition imposé toutes les semaines montrant vite une inadaptation aux contraintes de la vie urbaine. Une grande part du marché a donc été investie par des structures commerciales (associatives ou non) proposant plus de liberté dans le choix des produits.
Aujourd’hui, le marché est encore en évolution et ce sont des structures type épiceries de quartier (en zones urbaines) ou magasins de producteurs (dans la périphérie des zones de production) qui sont en pleine expansion et semblent le plus en adéquation avec les souhaits des consommateurs. Le développement de ces structures est aussi fortement valorisé par les pouvoirs publics locaux soucieux tout comme une partie de leurs administrés de la stabilité économique de leur territoire.

Mutualisation des transportsLes circuits courts de distribution nécessitent une logistique importante car les productions sont éloignées des zones de consommation. Ce sont les producteurs qui prennent en charge cette logistique dans le cas des AMAPs. Les structures commerciales mettent en place leur propre logistique (équipement en camions, tournée de ramassage des produits…).
Certaines se regroupent pour mutualiser les transports ce qui leur permet de pouvoir élargir leur gamme de produits disponibles et leur zone d’achalandage. Un gros travail logistique est cependant nécessaire à cette filière si elle veut pouvoir se développer d’avantage et conquérir de nouveaux marchés comme la restauration collective.
Les circuits courts représentent aujourd’hui sur Marseille environ 200 tonnes de fruits et légumes par mois dont plus des deux tiers sont produits en agriculture biologique.
Leur positionnement sur des produits bio est une nécessité aussi bien en termes d’image qu’en terme économique. Leur logistique n’étant pas assez développée, il parait inenvisageable de les voir prendre une part importante du marché des fruits et légumes conventionnels (trop de volumes à transporter par rapport à la rentabilité).
Ils prennent par contre une bonne partie du marché des fruits et légumes bio car ce sont des produits de conservation limitée (intérêt des circuits courts) et consommés par une population sensibilisée à l’environnement et à l’économie sociale locale.

Source et plus d'information: Econostrum

Tuesday, June 5, 2012

COCINA DE PROXIMIDAD KM. 0. GASTROBOTÁNICA.

El martes 8 de mayo, a las 17 h., en el Salón de Actos del Edificio Germán Bernacer de la Universidad de Alicante, en el marco del curso Experto Universitario en dirección de empresas de hostelería, y dentro de las sesiones de la Cátedra Prosegur -con la que colabora el Círculo de Economía de la Provincia de Alicante- sobre talento directivo, se celebró la mesa redonda sobre “Gestión del Talento e Innovación en la Restauración. Cocina de proximidad, Km. 0. Gastrobotánica”, con una asistencia de 130 personas.
Abrió la sesión el Decano de la Facultad de Económicas y Empresariales de la U.A., Dr. Juan Llopis, que dio la bienvenida institucional a la Universidad a todos los asistentes, destacando la importancia de la restauración en nuestra provincia como uno de los motores del sector turístico capaces de apoyar la salida de la crisis. Decía el profesor Llopis “o inventamos cosas que no sabemos o aprovechamos lo que sí sabemos”, y de restauración sí sabemos y tenemos la obligación de ponerla en valor para convertirla en un foco que potencie el turismo y, por tanto, aporte su grano de arena para combatir la situación aún muy difícil en que se encuentra nuestro país, la Comunidad Valenciana y nuestra provincia.
El primer ponente, Juan Cascant, aportaba su visión de que la crisis actual va más allá de la evidente crisis financiera; es más de modelo económico –decía- y afecta también al modelo gastronómico, que hoy prima los grandes eventos y la alta cocina, obviando la cocina de base, lo que lo aleja de los pequeños productores locales que en estas condiciones tienen muchas dificultades para mantener la actividad.
El minifundio y el labrador trabajándolo forman parte de la esencia de nuestra identidad, y con  su participación en la actividad económica, la alimentación adquiere una dimensión social y cultural –reafirmando el concepto de gastronomía como el estudio de la relación del hombre con su alimentación y el entorno-, pero para eso, Juan reivindicaba la necesidad de una complicidad mucho más evidente entre los productores de nuestra tierra y los empresarios de hostelería, así como el apoyo de los medios, como ocurre en otras tierras, como el País Vasco. ¿Por qué no aquí?, se preguntaba el ponente.
El segundo ponente, Evarist Miralles, del Restaurante el Bollit, representante español en el certamen Bocusse D´or 2012, celebrado en Bélgica, se mostró absolutamente partidario de la cocina con productos de proximidad. Planteaba, como propone en su restaurante, una cocina autóctona y de proximidad basada en el producto tradicional, elaborado con la metodología de siempre –lógicamente sin renunciar  productos complementarios procedentes de entornos más alejados-. Evarist se confesaba muy partidario de la “cocina mediterránea” que es, decía, verdad, proximidad y honestidad.

Fuente y más información: Circulo de Economia de Alicante